Bulletin 12

Bulletin semestriel | 02-2018

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80 pages, couverture souple, dos carré collé, nombreuses illustrations en noir et blanc et en couleurs, 240 x 210 mm, en vente au prix de 7 € à majorer des frais d'envoi éventuels.

Le douzième numéro de notre bulletin semestriel, seconde livraison de 2018, est paru le 17 novembre 2018.

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Au sommaire :

Richard JUSSERET, Éditorial 1
Les Journées du patrimoine ont montré, si besoin en était, à quel point notre patrimoine est une ressource exceptionnelle pour l’avenir de notre Ville. L’ancienne abbatiale, aujourd’hui basilique, fut assiégée par les visiteurs et les guides ont partagé leur passion. À la sortie, que des sourires. Mais teintés de tristesse face à l’état sanitaire de l’église  
Richard JUSSERET, L'ancien cimetière de la paroisse Saint-Gilles à Saint-Hubert 4
En 1980, l’Institut Royal du Patrimoine Artistique (IRPA) a édité un répertoire photographique du mobilier du canton de Saint-Hubert. Cet inventaire photographique est aujourd’hui consultable en ligne. Il reprend entre autres les monuments funéraires conservés dans l'ancien cimetière de la paroisse Saint-Gilles. À l’examen, il s’avère que celui-ci doit être actualisé. Cet article – il s’agit ici de la deuxième partie – se propose de faire cette mise à jour, non seulement en extension mais aussi en compréhension.  
Fernand VAN DEN ABBEEL, François Camille Delhalle : un garde de Warinsart dans la tourmente de la Grande Guerre 35
En cette année de commémoration du centenaire de la fin de la Première Guerre Mondiale, il a semblé opportun de rappeler le destin tragique d’un habitant de Bras, François Camille Delhalle (1882-1919), dit Camille, qui a fait partie d’une lignée familiale de gardes particuliers du domaine de Warinsart.
 
Émile PÈCHEUR (présenté par José PÈCHEUR), Les bolèdjis Pètcheûr do Bork / Les Pècheur, boulangers au Bork 52
Mu grand pére, FELICIYIN Jozèf Pètcheûr, èst né lu 5 do mwès d’mê an 1845. Ses parints èstint : Jean Jozèf Alècsis (03.06.1798) èt Marie Thérèse Beaupré (15.01.1807). Duvè sès dîj ans, il alèt a scole pa l’roue d’Hamêde. Lu frére du s’mére Nicolas Josèf Beaupré (30.01.1821) èt s’fème Marie Léopoldine Jacques (25.03.1825) èstint cinsis èt i dmorint, o numèro 33 èt leûs stôles o numèro 35 (asteûr c’èst l’mutuèle catolike) du ç’voye la. Lu 16 do mwès d’mârs an 1856, ma tante Marie donèt l’djoû a one pètite bwèssale : MARIE Augustine Beaupré. An alant ou an rvènant du scole, mu grand pére alèt bèrcè su ptite couzine. Sovint, i dmandèt : Vos m’l’ordréz, ma tante ?...  
Mon grand-père, FÉLICIEN, Joseph Pècheur est né le 5 mai 1845. Ses parents étaient Jean, Joseph Alexis (03.06.1798) et Marie-Thérèse Beaupré (15.01.1798). Avant ses dix ans, il se rendait à l’école par la rue Redouté. Le frère de sa mère, Nicolas, Joseph Beaupré (30.01.1821) et sa femme Marie, Léopoldine Jacques (25.03.1825) étaient fermiers, ils habitaient au numéro 33 et leur étable se trouvait au numéro 35 (aujourd’hui mutuelle catholique) de cette rue. Le 16 mars 1856, ma tante Marie donna naissance à une petite fille : Marie, Augustine Beaupré. En se rendant ou en revenant de l’école, mon grand-père allait bercer sa petite cousine. Souvent, il demandait : Vous me la garderez, ma tante ?...  
Nouvelle parution 80